Quelques semaines après ma découverte en salles de Françoise Lebrun dans son premier film (La Maman et la Putain, 1972), je la retrouve à nouveau dans son dernier film en date : Vortex de Gaspar Noé. Le timing de sortie au cinéma des deux films est une...
Lire la suitePuisqu'on célèbre aujourd'hui le 60e anniversaire de Tom Cruise, revenons rapidement sur cet acteur. Même s'il n'a jamais fait partie de mes "grands chouchous", force est de constater que je l'apprécie dans quasiment l'intégralité de ses rôles, d'autant...
Lire la suiteJe n'ai jamais été passionné par le cinéma de Cronenberg et je pense que Les crimes du futur résume tout ce que je n'apprécie pas chez le cinéaste. N'ayant pas vu sa version de 1969, ce n'est que mon 10e film du réalisateur et, mis à part La Mouche qui...
Lire la suiteMen n'est pas un film d'horreur. C'est une horreur de film. Dans cet article, je ne vais pas mâcher mes mots à l'égard de ce film qui est l'un des plus affligeants que j'ai pu voir ces dernières années en terme d'intention. Surfant sur une tendance ultra-féministe...
Lire la suiteAprès avoir vu La Flamme et beaucoup apprécié l'humour de la série, j'ai découvert cette semaine Le Flambeau, nouvelle saison parodique sur le thème de la téléréalité. Cette fois-ci, Jonathan Cohen s'attaque à Koh Lanta et s'entoure de valeurs fortes...
Lire la suiteJe vais oser aller à l'encontre de (presque toute) la critique ciné sur ce film, mais j'ai détesté Blow Up et je ne comprends pas les avis dithyrambiques que l'œuvre de Michelangelo Antonioni suscite. Il y a des films comme ça, qui ont une réputation...
Lire la suiteJeune célibataire, C.C. Baxter (Jack Lemmon) est employé dans une compagnie d'assurances. Incapable de dire "non" à ses collègues, il leur cède, chaque soir et à tour de rôle, son appartement afin qu'ils puissent y organiser des soirées discrètes. Baxter...
Lire la suiteJ'ai déjà abordé ce sujet récemment, je ne vais donc pas en rajouter une couche. Par contre, j'ai découvert il y a quelques jours la musique "When it's cold, I'd like to die" de Moby et j'ai trouvé qu'elle se prêtait bien à ces thématiques de la mémoire...
Lire la suiteCe film est merveilleux. Si mon exploration du cinéma des années 60 continue sur cette voie, je vais passer une putain de semaine. Grand échec commercial à cause des événements de mai 68 qui ont conduit à l'annulation du Festival de Cannes, Je t'aime,...
Lire la suitePour poursuivre cette semaine consacrée aux années 60, j'ai souhaité découvrir Les Innocents, dont j'entends parler depuis très longtemps, probablement depuis que j'ai su qu'Amenábar avait été grandement inspiré par ce classique de Jack Clayton pour réaliser...
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